Michio Miyagi (1894-1956), le « père » de la musique japonaise moderne, est notre compositeur préféré. Il est assez peu connu en Occident. Nous n'avons trouvé sur YouTube et Google Video qu'un seul film d'une interprétation de ses œuvres. Les deux autres à la suite sont des extraits de deux de ses compositions jouées au monastère zen de Kanshōji (Dordogne) par Nobuko et quelques amis britanniques membres du BBC Philarmony Orchestra de Londres.
Shōji Mizumoto joue Haru no umi (Mer de printemps) avec le Musica Bella Orchestra de New York, le 15 avril 2007 :
La mer évoquée dans cette œuvre est la Mer intérieure qui sépare l'île principale de Honshū de celle de Shikoku.
Haru no umi par le Duo Piazzola (Montréal) ; Isabelle Héroux (guitare) et Patrick Healey (flûte).
Un extrait du même Haru no umi joué par Nobuko Matsumiya (koto), Danny Fajardo (violon) et Richard Stag (shakuhachi) au monastère zen de Kanshōji le 17 septembre 2005 :
Toujours à Kanshōji le 17 septembre 2005 et du même Michio Miyagi, un extrait de Hokkai minyō-chō. Même formation que la précédente avec, en plus, Michiko Matsumura (chant) et Matthew Cannon (taiko). Ce titre est un arrangement de Miyagi pour le koto de Sōran bushi, un célèbre minyō. Sōran bushi est un chant de pêcheurs de harengs du nord-ouest de l'île de Hokkaidō. Il a été composé vers 1850. A l'origine, on le chantait a capella. Refrain et couplets sont des encouragements à hisser les filets sur le pont du bateau :
lundi 18 juin 2007
15. Michio Miyagi, « père » de la musique japonaise moderne
Publié par Nobuko Matsumiya à lundi, juin 18, 2007
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