mardi 22 septembre 2009

379. Un minyô (民謡) : Miyazu bushi (Air de Miyazu)

Les minyô (民謡) sont les chants populaires japonais. Sur cette page, Miyazu bushi (宮津節 - Air de Miyazu).

Miyazu bushi est un chant de fête du nord-ouest de la préfecture de Kyôto. Miyazu est un port situé sur la presqu’île de Tango (Tango Hantô). Autrefois, il était apprécié des hommes pour son quartier chaud calqué sur le modèle de Yoshiwara à Edo (Tôkyô). Les paroles de ce chant sont équivoques car elles jouent sur un double sens possible. Elles racontent l'histoire d'un homme qui se retrouve sans le sou ; mais on peut aussi comprendre qu’il éprouve... certaines raideurs de sa condition d’homme. Tango no Miyazu de pin to dashita signifie littéralement : « A Miyazu, en Tango, [ma bourse] s’est retrouvée vide. » Mais pinto signifie « tendu » et pin est une onomatopée évoquant quelque chose qui se dresse... Bref, la chanson est donc en partie une sorte d'équivalent japonais de la Fernande de Brassens...

Ensemble Sakura, Miyazu bushi (extrait), Centre des musiques traditionnelles en Ile-de-France, janvier 2006 :




Ensemble Sakura, Miyazu bushi (extrait), Festival des Nuits d'O, Montpellier, août 2006 :




Ensemble Sakura, Miyazu bushi, Opéra national de Lyon, vendredi 14 mars 2008 :




Ensemble Sakura, Miyazu bushi, Zénith Oméga de Toulon, dimanche 20 avril 2009 :

Cette vidéo sera publiée ultérieurement.



Voir aussi notre page 76 consacrée aux minyô

Musique japonaise traditionnelle - En savoir plus sur les minyô et voir beaucoup d'autres vidéos en consultant le site de l'Ensemble Sakura

Musique japonaise traditionnelle, genre minyô - L'Ensemble Sakura sur le site d'Artistes Associés - Japon

Japanese Traditional Music : Min'yo by the Sakura Ensemble

En savoir plus sur les minyô en consultant wikipédia (en anglais)

En savoir plus sur la musique japonaise traditionnelle en consultant le site Nipponia



378. Missionnaires catholiques au Japon

La société des Missions étrangères de Paris est une société de vie apostolique catholique basée à Paris ayant pour but l'évangélisation du monde. À ce titre, elle ne constitue, au sens canonique du terme, ni une congrégation ni un ordre, pas plus que ses membres ne sont considérés comme des religieux (source : Wikipédia).



Le père Bayzelon, ancien supérieur général des Missions étrangères de Paris, donne quelques explications sur l'histoire de l'Eglise au Japon :



Le père Waret est curé de paroisse au Japon :



Le père Kauss accueille au centre de Minoshima les exclus de la société japonaise :



Le père Marchant est missionnaire. Tout en étant curé de paroisse au Japon, il est directeur d'une école primaire dans laquelle les enfants sont éduqués selon la méthode Montessori :



En savoir plus sur les Missions étrangères de Paris en consultant Wikipédia
Site officiel des Missions étrangères de Paris



377. La préfecture de Wakayama

La préfecture de Wakayama (和歌山県 - Wakayamaken) est une préfecture du Japon, la plus au sud de l'île de Honshû. Elle est bordée des préfectures d'Osaka, Nara et Mie.

Wakayama-shi (和歌山市) est sa capitale. La ville a été fondée le 1er avril 1889.




En savoir plus sur la préfecture de Wakayama en consultant Wikipédia

En savoir plus sur la ville de Wakayama en consultant Wikipédia



lundi 14 septembre 2009

376. Le wasan, récitation liturgique du bouddhisme japonais

Le wasan (和讃) est l'un des genres du shômyô en japonais. Le shômyô (声明) est un style de chants et récitations liturgiques bouddhiques, à l'unisson ou en canon. À l'origine, le terme shômyô (litt. « voix claire ») renvoie à l'une des disciplines que devaient maîtriser les brahmanes, regroupant prononciation, rimes, acception des mots et grammaire sanscrite. Le bouddhisme emprunte vraisemblablement la technique vocale brahmanique pour chanter les textes religieux bouddhiques.


Zazen Wasan de Hakuin Zenji (白隠禅師座禅和讃 - traduction vietnamienne) :




Zazen Wasan de Hakuin Zenji (traduction espagnole) :




■ Voir aussi nos pages 159, 160, 161 et 375 consacrées aux sûtra et aux shômyô.

En savoir plus sur les sûtra en consultant Wikipédia

En savoir plus sur les shômyô en consultant Wikipédia

En savoir plus sur le bouddhisme en consultant Wikipédia

Lire une histoire du bouddhisme dans Wikipédia

Connaître les différentes écoles du bouddhisme par Wikipédia



375. Sûtra

Un sûtra (sanskrit — सूत्र sûtra — signifiant « fil ») désigne ce que l'on nomme en Occident un classique, un canon voire simplement un livre. Le terme s'applique à des écrits spéculatifs ou philosophiques rédigés sous forme d'aphorismes. Soit l'appellation est métaphorique (ce sont les « fils de la pensée », la « trame des idées »), soit elle est métonymique (on entend : « les fils qui servent à coudre les pages ensemble »). Par métonymie, on nomme aussi sûtra les livres contenant de tels écrits. Enfin, par extension, le terme en vient à désigner toutes sortes de traités, grammaires, analyses. C'est le cas du Kâmasûtra, Livre de Kâma (ou "sûtra du désir"), Kâma signifiant « désir » en sanskrit. Il est le dieu de l'amour charnel (source : Wikipédia).

Sûtra du cœur (般若心経) :




Kômyô shingon (光明真言) :




Amida Nyorai Kompon Darani (阿弥陀如来根本陀羅尼です) :




■ Voir aussi nos pages 159, 160 et 161 consacrées aux sûtra et aux shômyô.

En savoir plus sur les sûtra en consultant Wikipédia

En savoir plus sur les shômyô en consultant Wikipédia

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374. Comment pratiquer zazen ?

Zazen (座禅, Zazen) est la posture principale de méditation assise de la pratique du bouddhisme zen. C’est la posture qu’utilisait Bouddha pendant ses méditations.

Le but de zazen est de se concentrer sur la respiration et sur la posture en elle-même afin de la maintenir le plus correctement possible. Cela permettrait de développer la concentration, d'être serein et d'unifier et d'améliorer esprit et corps. La signification du terme japonais shikantaza — « seulement s'asseoir » — résume à la fois la simplicité et la difficulté de cette pratique (source : Wikipédia).

Un maître de zen, Gudo Nishijima, explique comment pratiquer zazen :




■ Voir aussi nos pages 5, 84, 89, 159, 160, 161, 242, 343 et 373 consacrées au zen.

En savoir plus sur zazen en consultant Wikipédia

En savoir plus sur le zen en consultant Wikipédia

En savoir plus sur l'école Sôtô en consultant Wikipédia

Site officiel de l'Association Zen internationale (école Sôtô), temple de La Gendronnière (Loir-et-Cher)



373. Dans un monastère zen Sôtô du Japon

Le zen est une forme de bouddhisme mahâyâna qui insiste sur la méditation (Dhyâna), ou « illumination intérieure » et particulièrement sur la posture dite de zazen. Le mot zen est la romanisation de la prononciation japonaise du caractère 禅 ou 禪, (« méditation silencieuse »), prononcé chán en mandarin, le mot ayant été emprunté au sanskrit dhyâna, en pâli jhâna (« recueillement parfait »). Le zen se réfère au chan chinois influencé par le taoïsme et, plus particulièrement, à la posture de méditation de Siddhârtha Gautama lorsqu'il obtint l'éveil sous l'arbre de la Bodhi il y a plus de 2500 ans en Inde (source : Wikipédia).

Ci-dessous, la vie quotidienne dans un monastère zen de l'école Sôtô au Japon :




■ Voir aussi nos pages 5, 84, 89, 159, 160, 161, 242 et 343 consacrées au zen.

En savoir plus sur le zen en consultant Wikipédia

En savoir plus sur l'école Sôtô en consultant Wikipédia



372. Hyakunin Isshu et karuta, jeu de cartes traditionnel japonais

Hyakunin Isshu (百人一首), cent poèmes de cent poètes, est une célèbre compilation de poèmes classiques japonais. Ce nom peut aussi faire référence au jeu de cartes karuta qui se base sur cette fameuse anthologie.

Histoire des jeux de cartes japonais :







Karuta (かるた ou 歌留多) est un jeu de cartes. Les deux types de cartes de karuta les plus connues sont celles du uta-karuta et celles du iroha-karuta. Pour jouer au iroha-karuta (いろはかるた), il suffit de savoir lire les hiragana.










Poèmes de Hyakunin Isshu en kanji, romanji et traduction en anglais



samedi 12 septembre 2009

371. L'Orient est rouge, comédie musicale révolutionnaire chinoise

L'Orient est rouge (chinois : 东方红, pinyin : Dōngfāng Hóng) est à l'origine un chant qui fut de facto l'hymne de la République populaire de Chine durant la Grande révolution culturelle prolétarienne. Les paroles en furent attribuées à Li Youyuan, paysan du nord du Shaanxi. L'air provient d'une chanson traditionnelle locale. L'inspiration lui serait venue après avoir vu le soleil se lever au matin d'un jour ensoleillé.

Des haut-parleurs diffusaient le chant de l'aube au crépuscule dans chaque ville et village. Un spectacle télévisé commençait habituellement par L'Orient est rouge et finissait par L'Internationale. Les étudiants devaient le chanter ensemble au début du premier cours de chaque journée. À cette époque, Tian Han, auteur de l'hymne officiel La Marche des Volontaires, était emprisonné si bien que le chant n'était pas utilisé.

L'Orient est rouge est également le titre d'une comédie musicale mise en scène au début des années 1960 et faisant l'apologie du communisme, et en particulier du maoïsme. La version cinématographique en est réalisée en 1965. La comédie musicale évoque l'histoire du Parti communiste chinois sous la direction de Mao Zedong (source : Wikipédia).

"The East Is Red", was premiered in 1964 on high artistic standards. It had a great influence on the people.

The dance epic was created on the initiative of Premier Zhou Enlai. Employing the art forms of song, dance and poetry, it depicted the arduous struggle of the Chinese people to achieve victory from past hardships. The team of directors and choreographers was led by Chen Yading and Zhou Weizhi. Both of them were artists and administrators in art and literature circles. There were 29 choreographers led by Zha Lie involved in this work and rehearsals for the dance epic lasted for months. The premiere of the work and the following performances were all held at the Great Hall of the People.

"The East Is Red" featured a close-knit structure, powerful presentation, exquisite designs and superb artists. In addition to large amounts of new work, the dance epic also included many excellent songs and dances, which were created after the founding of the People's Republic of China and were popular among the people. These selections were arranged into the whole work appropriately. Nearly all of China's best-known singers, dancers and musicians at that time participated in the show --a total of 3,000 performers, including some art troupes from outside Beijing.

"The East Is Red" described the Chinese people's revolutionary history. The performance also served as a review of China's development in song and dance, as well as a review of the achievements of artists after the founding of the PRC. It became the most significant art performance since 1949. In 1965, "The East Is Red" was adapted into an art film and received accolades from both home and abroad. Even today, three decades after the premiere of the film "The East Is Red", whenever it is staged, it receives a warm welcome from the Chinese people.





































lundi 7 septembre 2009

370. Le bunraku (théâtre de marionnettes)

Le bunraku (文楽) est un type de théâtre japonais datant du XVIIe siècle. Les personnages y sont représentés par des marionnettes de grande taille, manipulées à vue.







Voir aussi notre page 7, Bunraku (marionnettes)

En savoir plus sur le bunraku en consultant Wikipédia



369. La ville de Sendai

Sendai-shi (仙台市) est une grande métropole japonaise, capitale de la préfecture de Miyagi. A 350 km de Tôkyô, au nord-est de l'île de Honshû, Sendai figure parmi les onze villes les plus importantes du Japon. Elle a le privilège d'être bordée de montagnes à l'ouest et de la côte du Pacifique à l'est (source : Wikipédia).




En savoir plus sur Sendai en consultant Wikipédia



368. La préfecture de Yamanashi

Yamanashi (山梨県 - Yamanashi-ken) est une préfecture du Japon située au centre du Chûbu, sur Honshû, l'île principale du Japon. Elle est bordée des préfectures de Tôkyô, Kanagawa, Saitama, Shizuoka et Nagano. A Yamanashi se dresse le mont Fuji.




Voir aussi notre page 231, Vues du mont Fuji

En savoir plus sur la préfecture de Yamanashi en consultant Wikipédia



dimanche 6 septembre 2009

367. Pierre Dac et Francis Blanche : sketches et canulars

André Isaac dit Pierre Dac, né le 15 août 1893 au 70 rue de la Marne à Châlons-sur-Marne (Marne) actuellement Châlons-en-Champagne, et mort le 9 février 1975 à Paris, était un humoriste et comédien français. Il fut, également, pendant la Seconde Guerre mondiale une figure de la résistance contre l'occupation de la France par l'Allemagne nazie.

Francis Blanche, de son nom complet Francis Jean Blanche, né le 21 juillet 1921 à Paris et mort le 6 juillet 1974 dans la même ville, était un auteur, acteur et humoriste français. Il est enterré à Èze, Alpes-Maritimes.

Il forma, avec Pierre Dac, un duo auquel on doit de nombreux sketches dont Le Sâr Rabindranath Duval (1957), et un feuilleton radiophonique, Malheur aux barbus !, diffusé de 1951 à 1952 sur Paris Inter (213 épisodes) et publié en librairie cette même année ; personnages et aventures furent repris de 1956 à 1960 sur Europe 1, sous le titre Signé Furax (soit 1034 épisodes). Ces émissions furent suivies par de nombreux auditeurs. Toujours avec Pierre Dac il créa le Parti d'en rire.

Il fut également l'auteur de canulars téléphoniques qui furent diffusées régulièrement à la radio dans les années 1960.

On lui doit également des poèmes, des paroles de chansons comme Débit de l'eau, débit de lait chanté par Charles Trenet.

Parallèlement à sa carrière sur scène, il a tourné sans discontinuer dans des films où il est souvent intervenu aussi comme scénariste et dialoguiste. Sa composition la plus populaire est celle du commandant Obersturmführer Schulz face à Brigitte Bardot dans Babette s'en va-t-en guerre (1959). Il était un des acteurs favoris de Georges Lautner (Les Tontons flingueurs).

Il est mort d'une crise cardiaque à 53 ans. Très affecté, Pierre Dac (82 ans) le suivra quelques mois plus tard (source : Wikipédia).


■ Pierre Dac et Francis Blanche, chanson du Parti d’en rire :




Refrain du Parti d'en rire (Francis Blanche) :

Oui
Notre parti
Parti d'en ri-re
Oui
C'est le parti
De tous ceux qui n'ont pas pris de parti
Notre parti
Parti d'en ri-re
Oui
C'est le parti
De tous ceux qui n'ont pas pris de parti


Couplets du Parti d'en rire (Pierre Dac) :

Sans parti pris nous avons pris le parti
De prend' la tête d'un parti
Qui soit un peu comme un parti
Un parti placé au d'ssus des partis
En bref, un parti, oui
Qui puisse protéger la patrie
De tous les autres partis
Et ceci
Jusqu'à c'qu'une bonne partie
Soit partie
Et que l'autre partie
C'est parti
Ait compris
Qu'il faut être en partie
Répartis
Tous en seul parti
Notre parti

Nous avons placé nos idéaux
Bien plus haut
Que le plus haut
Des idéaux
Et nous f'rons d'not'mieux
Cré vindieu de vindieu de vindieu
Pour que c'qui n'va pas aille encore mieux
Oui pour vivre heureux
Prenons l'parti d'en rire
Seules la joie et la gaieté peuvent nous sauver du pire
La franche gaieté
La saine gaieté
La bonne gaieté des familles

Nos buts sont déjà fixés :
Réconcilier les oeufs brouillés
Faire que l'veau d'or puisse se coucher
Apprendre aux chandelles à s'moucher
Aux lampes-pigeons à roucouler
Amnistier les portes condamnées
A l'exception des portes-manteaux
(tiens ça rime pas, ah oui je sais :)
C'est pour ça qu'y peuvent s'accrocher
Exiger que tous les volcans
Soient ramonés une fois par an
Simplifier les lignes d'autobus
En supprimant les terminus
Et pour prouver qu'on n'est pas chiches
Faire beurrer tous les hommes-sandwichs

Voilà quel est notre programme
Voilà l'programme
D'mandez l'programme
On l'trouve partout
Je l'fais cent sous

Mais... pas d'hérésie !

- Notre parti
- Parti d'en rire, oui
- Non !
- Si !
- Crétin !
- Pauvre type !
- Abruti !

Et voici... ce qu'est notre parti
Oui !


■ Pierre Dac et Francis Blanche, Le Sâr Rabindranath Duval :




■ Francis Blanche, canular de L'ouvre-boîte récalcitrant :




Quelques citations de Pierre Dac :

- Né à Delhi, de petite taille et d'un caractère paisible, c'était un nain doux.
- Si la fortune vient en dormant, ça n'empêche pas les emmerdements de venir au réveil.
- La meilleure preuve qu'il existe une forme d'intelligence extraterrestre est qu'elle n'a pas essayé de nous contacter.
- Il vaut mieux qu'il pleuve aujourd'hui plutôt qu'un jour où il fait beau !
- Je préfère le vin d'ici à l'eau de là !

En savoir plus sur Pierre Dac en consultant Wikipédia

En savoir plus sur Francis Blanche en consultant Wikipédia



samedi 5 septembre 2009

366. Tom Jobim

Antônio Carlos Brasileiro de Almeida Jobim est un musicien brésilien né le 25 janvier 1927, à Tijuca, dans la partie nord de Rio de Janeiro et mort le 8 décembre 1994 à New York (Etats-Unis). Cofondateur du style « bossa nova », il a composé un grand nombre de chansons qui restent à la fois comme classiques de la musique populaire brésilienne et standards du jazz. Il est couramment appelé Tom Jobim, qui se prononce en portugais « ton jobi(n) » et non à l'américaine « tomm djobimm ».










■ Voir aussi notre page 12, Vinicius de Moraes, Toquinho, Miucha et Tom Jobim

■ Voir aussi notre page 13, Tom Jobim et Elis Regina : Agas de março

■ Voir aussi notre page 223, Vinicius de Moraes, Tom Jobim, Toquinho et Miucha

■ Voir aussi notre page 224, Vinicius de Moraes, Tom Jobim, Toquinho, Quartero Em Cy, Chico Buarque de Holanda et Nara Leao

■ Voir aussi notre page 227, Vinicius de Moraes, Toquinho, Tom Jobim, Maria Creuza et Astrud Gilberto

Site officiel de Tom Jobim (en portugais)

En savoir plus sur Tom Jobim en consultant Wikipédia



mardi 1 septembre 2009

365. Katsura-Rikyû (Villa impériale de Katsura)

La Villa impériale de Katsura, ou encore Palais isolé de Katsura (桂離宮 - Katsura rikyû) est un domaine constitué d'une villa, de jardins ainsi que de pavillons. Elle est située dans la banlieue ouest de Kyôto. C'est l'un des trésors culturels du Japon les plus importants.






En savoir plus sur la Villa impériale de Katsura en consultant Wikipédia



364. Le furoshiki

Le furoshiki (風呂敷) est une technique japonaise traditionnelle d'emballage en tissu utilisée pour transporter des vêtements, des cadeaux, le bentô, etc. Furoshiki signifie littéralement « étaler au bain » (風呂に敷く - furo ni shiku).















En savoir plus sur le furoshiki en consultant Wikipédia

Lire un article sur le furoshiki sur la page Eco-emballer les cadeaux

Visitez le site Furoshiki.com (en anglais)

Visitez le site Furoshiki (en japonais)



363. La ville de Sawara (région de Kantô)

Sawara (佐原市 - Sawara-shi) est une ville de la préfecture de Chiba. La préfecture de Chiba (千葉県 - Chiba-ken) est située dans la région de Kantô.




En savoir plus sur la préfecture de Chiba en consultant Wikipédia