Rakugo (落語) signifie littéralement « mots tombés ». Il s'agit d'un art japonais de conteurs. Voir la page 165 (novembre 2007).
Dōguya (道具屋 - Brocante) est l'histoire d'un brocanteur inexpéri-
menté qui se fait aider à monter son étal de nuit par un confrère bouquiniste. Le rakugoka est le célèbre Katsura Shijaku II (1939-1999) qui était surnommé « le roi de l'éclat de rire ». Katsura est mort d'un arrêt du cœur après une tentative de suicide par pendai-
son. Il raconte dans le dialecte du Kansai (région de Kyōto et Osaka) :
En savoir plus sur le rakugo en consultant Wikipédia (en anglais) :
Lire un article sur le rakugo sur le site de l'association Atlantique Japon :
En savoir plus sur Katsura Shijaku en consultant Wikipédia (en anglais) :
Lire l'interview traduite en français de Diane Kichijitsu sur le site de la ville d'Osaka. La page contient aussi un glossaire des termes du rakugo et d'autres informations :
jeudi 29 novembre 2007
171. Rakugo : Dōguya (道具屋 - Brocante)
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mercredi 28 novembre 2007
170. Japon : la Jpop des années 50
La Jpop est un genre de la musique japonaise influencé par la musique occidentale.
Les trois films de cette page ont été enregistrés en 1957, quand le Japon était friand de jazz et de comédies musicales américaines.
Lire l'article de Wikipédia consacré à la Jpop :
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Nobuko Matsumiya
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mardi 27 novembre 2007
169. Un minyō : Otemoyan (おてもやん — Petite Madame Otemo)
Les minyō (民謡) sont les chants populaires japonais.
Otemoyan (おてもやん - Petite Madame Otemo) est un minyō humoristique de la région de Kumamoto (île de Kyūshū). Il est consacré à une jeune mariée. Celle-ci se plaint de la laideur de son mari dont le visage est grêlé par la petite vérole. Elle en a tellement honte qu’elle n’ose pas faire part de leur mariage. Elle avoue cependant aimer son homme.
Otemoyan par l'Ensemble Sakura, Nuits d'O, Montpellier, vendredi 18 août 2006 :
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Nobuko Matsumiya
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168. Sumie : leçon n° 18 sur 23 (prune)
Cette leçon fait partie du cours de sumi-e de Kazu Shimura commencé à la page 82 (septembre 2007). L'artiste réside à Tōkyō.
Les fleurs de cerisiers s'agitent dans le vent avec grâce, alors que les fleurs de pruniers ne se balancent jamais.
Leçon précédente :
17. Mer et crabe
Prochaines leçons :
19. Couper un chat (en 2 vidéos)
20. Geisha en kimono (en 2 vidéos)
21. Cerisier en fleur
22. Moines zen à la sieste
23. Cross Terrine du Sumi-e (rédigé en ces termes en anglais par l'auteur ; nous sommes incapables de traduire...)
Lien vers le site de l'artiste (en anglais et japonais) :
Connaître l'histoire de la peinture sumi-e en consultant le site de l'artiste (en anglais) :
Si vous désirez voir des photos de sumi-e, des diaporamas de Kazu Shimura ou correspondre avec l'artiste pour obtenir des informations complémentaires :
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mardi, novembre 27, 2007
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167. Japon : reconstruction d'une maison traditionnelle
De jeunes charpentiers japonais ont reconstruit une maison à partir des matériaux de trois cents ans d'âge provenant d'une vieille ferme du nord du lac Biwa, dans la préfecture de Shiga...
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lundi 26 novembre 2007
166. Sumie : leçon n° 17 sur 23 (mer et crabe)
Cette leçon fait partie du cours de sumi-e de Kazu Shimura commencé à la page 82 (septembre 2007). L'artiste réside à Tōkyō.
Crabe kani :
Leçon précédente :
16. Hortensia
Prochaines leçons :
18. Prune
19. Couper un chat (en 2 vidéos)
20. Geisha en kimono (en 2 vidéos)
21. Cerisier en fleur
22. Moines zen à la sieste
23. Cross Terrine du Sumi-e (rédigé en ces termes en anglais par l'auteur ; nous sommes incapables de traduire...)
Lien vers le site de l'artiste (en anglais et japonais) :
Connaître l'histoire de la peinture sumi-e en consultant le site de l'artiste (en anglais) :
Si vous désirez voir des photos de sumi-e, des diaporamas de Kazu Shimura ou correspondre avec l'artiste pour obtenir des informations complémentaires :
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vendredi 23 novembre 2007
165. Le rakugo, un art de conteurs
Rakugo (落語) signifie littéralement « mots tombés ». Il s'agit d'un art japonais de conteurs. L'artiste, appelé rakugoka, raconte ses histoires assis sur scène, seiza (façon japonaise), sur un coussin. Les règles du genre le contraignent à ne pouvoir bouger que le haut du corps. L'histoire comporte deux ou plusieurs personnages qu'il distingue par différents niveaux de langage, des changements de voix, de ton ou par la gestuelle. Il utilise un éventail de papier qui remplace tous les objets de son récit. Les histoires durent entre vingt minutes et une heure, elles sont toujours comiques ou satiri-
ques, elles comportent souvent des jeux de mots et des calembours et se terminent généralement par une chute. Le rakugo est joué au Japon dans de petits théâtres nommés « yose ».
Un rakugoka, Kintarō Sanyoutei, parle de la technique de son art :
Kintarō Sanyoutei, deuxième partie de la démonstration :
Kintarō Sanyoutei, troisième partie de la démonstration :
Nous publierons prochainement des films de récits en japonais et en anglais.
En savoir plus sur le rakugo en consultant Wikipédia (en anglais) :
Lire un article sur le rakugo sur le site de l'association Atlantique Japon :
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mercredi 21 novembre 2007
164. Cinéma : Shūji Terayama, Empereur Tomato Ketchup
Shūji Terayama (修司 寺山), poète et réalisateur, est décédé en 1983 à l'âge de 48 ans. Anarchiste et provocateur, il a plus de deux cents livres et une vingtaine de films à son actif.
Sur cette page, deux versions de The Emperor Tomato Ketchup. La première est la version originale teintée réalisée en 1970 (76 mn).
La seconde est la version courte (28 mn) en noir et blanc et modifiée réalisée en 1971 pour le public occidental. Elle est suivie de The Cage (Ori - 1964, 11 mn) et de An Introduction to Cinema for Boys and Young Men (3 mn). Pour les amateurs de surréalisme seulement...
Shūji Terayama, The Emperor Tomato Ketchup, version originale (76 mn) :
Shūji Terayama, The Emperor Tomato Ketchup (version courte 28 mn), suivi de The Cage (Ori - 11 mn) et de An Introduction to Cinema for Boys and Young Men (3 mn) :
Nous avons déjà publié deux courts métrages de Shūji Terayama aux pages 39 et 47 (Mourir à la campagne) et page 53 (Les chants de Maldoror). D'autres suivront dans les semaines ou les mois à venir.
En savoir plus sur Shūji Terayama en consultant Wikipédia :
En savoir plus sur Empereur Tomato Ketchup en visitant le site Eiga go go :
Lire l'article de Wikipédia sur la chanson L'Empereur Tomato Ketchup (groupe Bérurier Noir) :
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mardi 20 novembre 2007
163. Les bains thermaux au Japon (onsen)
Sur cette page, un reportage d'Arte sur les bains thermaux japonais (温泉 - onsen). Le film est fractionné en trois parties.
Arte - L'Esprit du bain, première partie :
Arte - L'Esprit du bain, seconde partie :
Arte - L'Esprit du bain, troisième partie :
Lire l'article de Wikipédia sur les bains thermaux au Japon :
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162. Sumie : leçon n° 16 sur 23 (hortensia)
Cette leçon fait partie du cours de sumi-e de Kazu Shimura commencé à la page 82 (septembre 2007). L'artiste réside à Tōkyō.
La saison des pluies a commencé...
Leçon précédente :
15. Nuages
Prochaines leçons :
17. Mer et crabe
18. Prune
19. Couper un chat (en 2 vidéos)
20. Geisha en kimono (en 2 vidéos)
21. Cerisier en fleur
22. Moines zen à la sieste
23. Cross Terrine du Sumi-e (rédigé en ces termes en anglais par l'auteur ; nous sommes incapables de traduire...)
Lien vers le site de l'artiste (en anglais et japonais) :
Connaître l'histoire de la peinture sumi-e en consultant le site de l'artiste (en anglais) :
Si vous désirez voir des photos de sumi-e, des diaporamas de Kazu Shimura ou correspondre avec l'artiste pour obtenir des informations complémentaires :
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dimanche 18 novembre 2007
161. Bouddhisme : le Sûtra du cœur par un moine tibétain
Bouddhisme : le Sûtra du cœur psalmodié par un moine tibétain :
En savoir plus sur les sûtra en consultant Wikipédia :
En savoir plus sur le bouddhisme en consultant Wikipédia :
Lire une histoire du bouddhisme sur Wikipédia :
Connaître les différentes écoles du bouddhisme par Wikipédia :
■ POUR LES ALCOOLIQUES DE L'AMOUR ET DE LA PAIX
Voir la page 141 : Poésie pour les alcooliques de l'amour et de la paix
En Occident, l'image du bouddhisme est clairement positive. Il est synonyme de paix, de tolérance et d'amour. Qu'en est-il vraiment ?
Sait-on, par exemple, que le nazisme s'y est largement alimenté, que le zen a été un support de l'idéologie militariste, totalitaire et impérialiste du Japon d'avant-guerre ou que l'actuel dalaï-lama, prix Nobel de la paix, est contesté par une frange croissante de Tibétains (Tibetan Youth Congress, Tibetan Buddhist Chandrakirti Centre, etc.) qui lui reprochent notamment d'être un autocrate, un oppres-
seur, un traître à son pays et d'avoir commandité des crimes : assa-
ssinats, tortures, amputations d'opposants ou tentatives d'incendies de leurs domiciles, etc. Il existe par ailleurs de nombreux témoignages, dont ceux d'ONG, sur les méfaits du pontife, les menaces de mort proférées par des membres de sa famille, etc.
Certaines analyses en profondeur de la doctrine bouddhiste elle-même vont radicalement à l'encontre de toutes les idées reçues.
Aucun lecteur objectif et soucieux de vérité ne devrait manquer de lire une somme de plus de trois cents articles critiques sur le bouddhisme (la plupart sont en anglais) et dont les titres sont méthodiquement classés à la page « Critical Links to Buddhism and Lamaism » :
En français, lire notamment parmi ces articles ceux de Marc Bosche sur les difficultés d'adaptation du bouddhisme en Occident.
« A n'être pas des éveilleurs, l'artiste et l'écrivan courent le risque de n'être que des prostituées. »
Page réalisée par Philippe Costa
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160. Bouddhisme : le Sûtra du cœur en chinois mandarin
Bouddhisme : le Sûtra du cœur chanté en chinois mandarin par Imee Ooi :
En savoir plus sur la musique d'Imee Ooi en consultant Wikipédia (en anglais) :
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jeudi 15 novembre 2007
159. Bouddhisme : le Sûtra du cœur (shōmyō)
Le Sûtra du cœur, shōmyō chanté en japonais par des pratiquants occidentaux de l'Aikido. Images d'Aikifarm, au Portugal, et du temple de Fudo Myō à Iwama, Japon :
Extrait de Jipango, vendredi 23 mai 2008 :
« Le 5 juin, Jean-Noël Robert, directeur d’études à la section des sciences religieuses de l’Ecole pratique des hautes études (titulaire de la chaire consacrée au bouddhisme japonais) donnera une explication des paraboles du Sûtra du lotus, illustré dans des planches gravées du temple Taishaku-ten Daikyō-ji à Tōkyō. »
Conférence publique et gratuite
5 juin 2008
Musée Guimet
6, place d'Iéna, Paris 16e
Lien vers le site de Associação Portuguesa Aiki-Shuren Dojo :
Lire un article sur l'accueil réservé à l'association portugaise par le temple d'Iwama (en anglais) :
En savoir plus sur les shōmyō en consultant Wikipédia :
En savoir plus sur les sûtra en consultant Wikipédia :
En savoir plus sur le bouddhisme en consultant Wikipédia :
Lire une histoire du bouddhisme sur Wikipédia :
Connaître les différentes écoles du bouddhisme par Wikipédia :
Page réalisée par Philippe Costa
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158. Bouddhisme japonais : les moines takuhatsu
Takuhatsu (托鉢) est une forme traditionnelle de mendicité prati-
quée par les moines bouddhistes japonais. Ils se rendent dans les domiciles, les magasins ou les entreprises pour y recevoir des dons d'argent et de nourriture. Ils s'interdisent de mendier dans les temples, les sanctuaires, les églises, les écoles, les hôpitaux et les administrations.
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mardi 13 novembre 2007
Relations franco-japonaises : 150 ans
Spectacles et animations Japon - Du 1-er janvier au 31 décembre 2008 sera célébré le 150-ième anniversaire des relations franco-japonaises.
Diffuseurs de musique, salles de spectacles, centres culturels, médiathèques, musées, festivals, associez votre ville à cet événement !
■ En savoir plus sur l'histoire des relations franco-japonaises en consultant Wikipédia :
■ Pour s'informer sur le 150-ième anniversaire et connaître les conditions de participation, consultez le site de l'Ambassade du Japon en France :
■ Pour s'informer sur le 150-ième anniversaire et connaître les conditions de participation, consultez le site de l'Ambassade de France au Japon :
Pour s'informer sur nos spectacles (nombreuses vidéos) :
■ Visitez Matsumiya.info, le site de Nobuko Matsumiya :
■ Visitez HaikuNet.org, le site de Philippe Costa :
■ Visitez Minyo.info, le site de l'Ensemble Sakura :
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157. Bouddhisme : mélopées de moines japonais
Cette page pour écouter quelques chants et récitations de moines bouddhistes japonais.
Office dans un temple bouddhique proche de Hamamatsu, préfecture de Shizuoka :
Moines de la secte bouddhiste Shingon en récitation à l'Okuno-in (奥の院), Mont Kōya (高野山 - Kōya-san), préfecture de Wakayama, au sud d'Osaka. Le Mont Kōya est le principal centre du Shingon. En 2004, l'Unesco l'a désigné au Patrimoine mondial de l'humanité :
Chant de moines bouddhistes dans un temple de Nara :
Moine bouddhiste accomplissant un rite funéraire devant l'autel des ancêtres du domicile d'un fidèle :
En savoir plus sur les temples bouddhiques du Mont Kōya en consultant Wikipédia :
En savoir plus sur la secte Shingon du bouddhisme japonais en consultant Wikipédia :
En savoir plus sur le moine Kūkai, fondateur du Shingon, en consultant Wikipédia :
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156. Sumie : leçon n° 15 sur 23 (nuages)
Cette leçon fait partie du cours de sumi-e de Kazu Shimura commencé à la page 82 (septembre 2007). L'artiste réside à Tōkyō.
Le sumi-e n'utilisant évidemment pas d'encre blanche, les nuages sont l'une de ses difficultés. On va donc devoir se servir du blanc du papier en ne peignant que les parties ombrées :
Leçon précédente :
14. Belle-de-jour
Prochaines leçons :
16. Hortensia
17. Mer et crabe
18. Prune
19. Couper un chat (en 2 vidéos)
20. Geisha en kimono (en 2 vidéos)
21. Cerisier en fleur
22. Moines zen à la sieste
23. Cross Terrine du Sumi-e (rédigé en ces termes en anglais par l'auteur ; nous sommes incapables de traduire...)
Lien vers le site de l'artiste (en anglais et japonais) :
Connaître l'histoire de la peinture sumi-e en consultant le site de l'artiste (en anglais) :
Si vous désirez voir des photos de sumi-e, des diaporamas de Kazu Shimura ou correspondre avec l'artiste pour obtenir des informations complémentaires :
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dimanche 11 novembre 2007
155. Julio Cortázar : Ecrasement des gouttes
Cette page présente sept adaptations audiovisuelles de la nouvelle de Julio Cortázar : Ecrasement des gouttes (Aplastamiento de las gotas). La plupart des vidéos utilisent un enregistrement de la voix de Cortázar.
« Je ne sais pas, regarde, c'est terrible comme il pleut. Il pleut tout le temps, dehors épais et gris, ici contre le balcon avec de grosses gouttes dures et figées qui s'écrasent comme des gifles l'une après l'autre, quel ennui. (...) Tristes gouttes, rondes gouttes innocentes. Adieu, gouttes. Adieu. » Julio Cortázar, Nouvelles - 1945-1982, Ed. Gallimard, 1945-1993, p. 440.
1. D'après Julio Cortázar, Ecrasement des gouttes (Aplastamiento de las gotas) :
2. D'après Julio Cortázar, Ecrasement des gouttes (Aplastamiento de las gotas) :
3. D'après Julio Cortázar, Ecrasement des gouttes (Aplastamiento de las gotas) :
4. D'après Julio Cortázar, Ecrasement des gouttes (Aplastamiento de las gotas) :
5. D'après Julio Cortázar, Ecrasement des gouttes (Aplastamiento de las gotas) :
6. D'après Julio Cortázar, Ecrasement des gouttes (Aplastamiento de las gotas) :
7. D'après Julio Cortázar, Ecrasement des gouttes (Aplastamiento de las gotas) :
Précédentes publications d'adaptations audiovisuelles de textes de Julio Cortázar aux pages 87 et 99 (septembre 2007).
Page réalisée par Philippe Costa
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154. John Cage : 4'33
John Cage (1912-1992) était un compositeur américain, un poète et un plasticien. Peut-être était-il aussi un humoriste... Son œuvre la plus célèbre est 4'33.
4'33 au cours d'un concert dédié à John Cage :
John Cage, 4'33 interprété par David Tudor :
En savoir plus sur John Cage en consultant Wikipédia :
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samedi 10 novembre 2007
153. Thomas Chung : la dernière feuille d'automne
Nous avons déjà publié plusieurs petits films de Thomas Chung. Voir les pages 91, 93 (septembre 2007), 100, 112 et 128 (octobre 2007). Nous en publierons d'autres prochainement.
Thomas Chung, Impressionen :
Illustration musicale : John Cage, puis Steve Reich.
En savoir plus sur John Cage en consultant Wikipédia :
En savoir plus sur Steve Reich en consultant Wikipédia :
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vendredi 9 novembre 2007
152. A propos de Geisha, le roman d'Arthur Golden
The Secret Life of Geisha, document de la chaîne TV américaine NBC diffusé en 2002. Il comprend l'interview de l'ex-geisha Mineko Iwasaki au sujet de Geisha (Memoirs of A Geisha), le roman d'Arthur Golden paru en 1997 et dont a été adapté le film Memoirs of a Geisha (Mémoires d'une geisha) sorti en 2005.
Arthur Golden s'est servi des confidences de Mineko Iwasaki pour écrire son livre. Une fois celui-ci traduit en japonais, Madame Iwasaki a intenté un procès à Golden et a écrit son propre livre : Ma vie de geisha (Ed. Michel Lafon).
Voir d'autres vidéos concernant les geishas et les maiko aux pages 3, 24 (juin 2007) et 150 (novembre 2007).
Autres livres sur le sujet des geishas :
■ Yuki Inoue, Mémoires d'une geisha (Ed. Philippe Picquier)
■ Liza C. Dalby, Geisha (Petite Bibliothèque Payot)
En savoir plus sur les geishas et les maiko en consultant Wikipédia :
En savoir plus sur le roman Geisha en consultant Wikipédia :
En savoir plus sur Arthur Golden en consultant Wikipédia :
En savoir plus sur le film Mémoires d'une geisha en consultant Wikipédia :
Voir la page du site officiel de Sony consacrée à Memoirs of a Geisha (en anglais) :
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vendredi, novembre 09, 2007
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151. Sumie : leçon n° 14 sur 23 (belle-de-jour)
Cette leçon fait partie du cours de sumi-e de Kazu Shimura commencé à la page 82 (septembre 2007). L'artiste réside à Tōkyō.
Belle-de-jour, asagao, l'été :
Leçon précédente :
13. Orchidée
Prochaines leçons :
15. Nuages
16. Hortensia
17. Mer et crabe
18. Prune
19. Couper un chat (en 2 vidéos)
20. Geisha en kimono (en 2 vidéos)
21. Cerisier en fleur
22. Moines zen à la sieste
23. Cross Terrine du Sumi-e (rédigé en ces termes en anglais par l'auteur ; nous sommes incapables de traduire...)
Lien vers le site de l'artiste (en anglais et japonais) :
Connaître l'histoire de la peinture sumi-e en consultant le site de l'artiste (en anglais) :
Si vous désirez voir des photos de sumi-e, des diaporamas de Kazu Shimura ou correspondre avec l'artiste pour obtenir des informations complémentaires :
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jeudi 8 novembre 2007
150. Interview d'une maiko (apprentie geisha)
Sur cette page, dix-sept minutes d'interview d'une maiko (apprentie geisha) entièrement en japonais !... A ceux qui ne parlent pas la langue, voilà qui laisse tout loisir d'observer le kimono, la coiffure, les gestes et les mimiques. Celles-ci ne sont pas typiques des maiko et des geishas, mais de beaucoup de jeunes filles et de jeunes femmes japonaises...
En savoir plus sur les geishas et les maiko en consultant Wikipédia :
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jeudi, novembre 08, 2007
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149. Poterie japonaise : Shoji Hamada
Shoji Hamada (濱田庄司 - Hamada Shoji, 1894-1978) était un potier japonais. Le gouvernement japonais lui a donné le titre de « Trésor national vivant » en 1955.
Démonstration de Shoji Hamada vers l'année 1968 :
Illustration musicale : Kōjō no tsuki (Lune sur un château en ruine), de Rentarō Taki (1901).
Autres artistes désignés sous le nom de « Trésor national vivant » :
□ Kawase Hasui (1883–1957), peintre dans la technique de l'estampe
□ Shinsui Itō (1888-1972), peintre dans la technique de l'estampe
□ Bandō Mitsugorō VIII (1906-1975), acteur
□ Serizawa Keisuke (1895-1984), dessinateur de textiles issu du mouvement « Arts & Crafts » (1860-1910)
□ Toyozo Arakawa (1894-1985), potier
□ Goro Yamaguchi (1933–1999), maître de shakuhachi (grosse flûte de bambou)
□ Matsumoto Gennosuke (né en 1924), maître de taiko, kagura et autres traditions de matsuri (fêtes)
□ Manji Inoue, potier
□ Imaizumi Imaemon XIII, potier
□ Sakaida Kakiemon XIV, potier
En savoir plus sur la poterie japonaise en consultant Wikipédia :
En savoir plus sur ce que les Japonais désignent sous les noms de
« Trésor national » et « Trésor national vivant » en consultant Wikipédia :
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148. Poterie japonaise : le style shigaraki
Shigaraki est le nom d'un village de la préfecture de Shiga, près de Kyōto. Le village a donné son nom au style de poterie de ses artisans : Shigaraki-yaki. C'est un des styles les plus anciens du Japon. Il est célèbre pour ses représentations de tanuki (chien viverrin)
Visite chez un potier de Shigaraki :
En savoir plus sur la poterie japonaise en consultant Wikipédia :
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147. Sumie : leçon n° 13 sur 23 (orchidée)
Cette leçon fait partie du cours de sumi-e de Kazu Shimura commencé à la page 82 (septembre 2007). L'artiste réside à Tōkyō.
Il existe plusieurs espèces d'orchidées. Celle du type cymbidium est la plus peinte dans le sumi-e. Vous devez acquérir la technique pour peindre de belles lignes :
Leçon précédente :
12. Balaou (poisson)
Prochaines leçons :
14. Belle-de-jour
15. Nuages
16. Hortensia
17. Mer et crabe
18. Prune
19. Couper un chat (en 2 vidéos)
20. Geisha en kimono (en 2 vidéos)
21. Cerisier en fleur
22. Moines zen à la sieste
23. Cross Terrine du Sumi-e (rédigé en ces termes en anglais par l'auteur ; nous sommes incapables de traduire...)
Lien vers le site de l'artiste (en anglais et japonais) :
Connaître l'histoire de la peinture sumi-e en consultant le site de l'artiste (en anglais) :
Si vous désirez voir des photos de sumi-e, des diaporamas de Kazu Shimura ou correspondre avec l'artiste pour obtenir des informations complémentaires :
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mercredi 7 novembre 2007
146. Kabuki et opéra kunqu : Le pavillon aux pivoines
Le kabuki (歌舞伎) est la forme épique du théâtre japonais tradition-
nel.
Le kunqu est la plus vieille forme d'opéra chinois qui soit encore jouée.
La vidéo de cette page montre une représentation combinant les deux genres lors du Festival des arts pour l'amitié nippo-chinoise (日中友好芸能フェ スティバル), le 9 octobre 2002. Il s'agit d'un fameux épisode du Pavillon aux pivoines (Mudan Ting) de Tang Xianzu (1550-1616). Le Pavillon aux pivoines est le chef d’œuvre de l'opéra chinois et l’exact contemporain de Roméo et Juliette, créé en 1598. La pièce raconte la passion amoureuse de Liu Mengmei et de Du Liniang, par-delà les épreuves du temps et des enfers.
Ici, Liu Mengmei est joué par l'acteur chinois Jun Zhang, et Emiya Ichikawa incarne Du Liniang.
La mise en scène de la rencontre impossible...
Voir les pages précédentes consacrées au kabuki :
■ Page 24 (juin 2007), Un kabuki joué aussi par des geishas
■ Page 25 (juin 2007), La Jeune Fille-Héron (Sagi Musume) jouée par Bandō Tamasaburō (坂東玉三郎).
■ Page 133 (novembre 2007), Théâtre kabuki (n° 1 sur 2)
■ Page 134 (novembre 2007), Théâtre kabuki (n° 2 sur 2)
■ Page 144 (novembre 2007), La jeune fille aux glycines (Fuji Musume) jouée par Emiya Ichikawa (市川笑也).
■ Page 145 (novembre 2007), La jeune fille aux glycines (Fuji Musume) jouée par Bandō Tamasaburō.
Voir aussi les pages concernant la musique du kabuki :
■ Page 73 (juillet 2007), La musique japonaise traditionnelle (n° 1 sur 5), chapitre 4 « La musique de shamisen »
■ Page 75 (août 2007), La musique japonaise traditionnelle (n° 3 sur 5), chapitre 6 « Le genre nagauta »
■ Page 77 (août 2007), La musique japonaise traditionnelle (n° 5 sur 5), chapitre 8 « La musique du kabuki »
En savoir plus sur le kabuki en consultant Wikipédia :
En savoir plus sur le kabuki en consultant le site Le Kabuki dans la langue de Molière :
En savoir plus sur l'opéra kunqu par Wikipédia :
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mercredi, novembre 07, 2007
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mardi 6 novembre 2007
145. Kabuki : Fuji Musume, par Bandō Tamasaburō V
Le kabuki (歌舞伎) est la forme épique du théâtre japonais tradition-
nel.
La vidéo de cette page montre la première partie d'une représenta-
tion de Fuji Musume (藤娘 - La jeune fille aux glycines) jouée par Bandō Tamasaburō V (坂東玉三郎).
Le genre musical de cette pièce est le nagauta (長唄). Nagauta signi-
fie littéralement « chant long ».
Fuji Musume :
Voir les pages précédentes consacrées au kabuki :
■ Page 24 (juin 2007), Un kabuki joué aussi par des geishas
■ Page 25 (juin 2007), La Jeune Fille-Héron (Sagi Musume) jouée par Bandō Tamasaburō (坂東玉三郎).
■ Page 133 (novembre 2007), Théâtre kabuki
■ Page 144 (novembre 2007), La jeune fille aux glycines (Fuji Musume) jouée par Emiya Ichikawa (市川笑也).
Voir aussi les pages concernant la musique du kabuki :
■ Page 73 (juillet 2007), La musique japonaise traditionnelle (n° 1 sur 5), chapitre 4 « La musique de shamisen »
■ Page 75 (août 2007), La musique japonaise traditionnelle (n° 3 sur 5), chapitre 6 « Le genre nagauta »
■ Page 77 (août 2007), La musique japonaise traditionnelle (n° 5 sur 5), chapitre 8 « La musique du kabuki »
En savoir plus sur le kabuki en consultant Wikipédia :
En savoir plus sur le kabuki en consultant le site Le Kabuki dans la langue de Molière :
En savoir plus sur Bandō Tamasaburō V en consultant Wikipédia :
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144. Kabuki : Fuji Musume, par Emiya Ichikawa
Le kabuki (歌舞伎) est la forme épique du théâtre japonais tradition-
nel.
La vidéo de cette page montre une représentation de Fuji Musume (藤娘 - La jeune fille aux glycines) jouée par Emiya Ichikawa (市川笑也).
Le genre musical de cette pièce est le nagauta (長唄). Nagauta signi-
fie littéralement « chant long ».
Voir les pages précédentes consacrées au kabuki :
■ Page 24 (juin 2007), Un kabuki joué aussi par des geishas
■ Page 25 (juin 2007), La Jeune Fille-Héron (Sagi Musume) jouée par Bandō Tamasaburō (坂東玉三郎).
■ Page 133 (novembre 2007), Théâtre kabuki
Voir aussi les pages concernant la musique du kabuki :
■ Page 73 (juillet 2007), La musique japonaise traditionnelle (n° 1 sur 5), chapitre 4 « La musique de shamisen »
■ Page 75 (août 2007), La musique japonaise traditionnelle (n° 3 sur 5), chapitre 6 « Le genre nagauta »
■ Page 77 (août 2007), La musique japonaise traditionnelle (n° 5 sur 5), chapitre 8 « La musique du kabuki »
En savoir plus sur le kabuki en consultant Wikipédia :
En savoir plus sur le kabuki en consultant le site Le Kabuki dans la langue de Molière :
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lundi 5 novembre 2007
143. Le kangen (管絃), gagaku profane
Le gagaku (雅楽) est un genre de musique de cour devenu celui de la cour impériale depuis la restauration de Meiji en 1868. Gagaku signi-
fie littéralement « musique élégante ».
L'un des sous-genres du gagaku, le bugaku, est une musique de danse. Dans le bugaku, l'orchestre n'utilise jamais de cordes.
Le film suivant montre un gagaku profane appelé kangen (管絃) :
Voir nos précédentes publications concernant le gagaku :
■ Page 51. Le gakaku (雅楽) : la musique de cour (juillet 2007)
■ Page 52. Mariages shintoïstes et gagaku (juillet 2007)
En savoir plus sur le gagaku en consultant Wikipédia :
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lundi, novembre 05, 2007
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142. Sumie : leçon n° 12 sur 23 (poisson)
Cette leçon fait partie du cours de sumi-e de Kazu Shimura commencé à la page 82 (septembre 2007). L'artiste réside à Tōkyō.
Le balaou (poisson) est l'un des mets japonais les plus prisés en automne. Le cuire au four et le servir avec des radis et de la sauce de soja. N'oubliez pas le riz ! La ligne noire supérieure permet de mettre en valeur la fraîcheur :
Leçon précédente :
11. Rose
Prochaines leçons :
13. Orchidée
14. Belle-de-jour
15. Nuages
16. Hortensia
17. Mer et crabe
18. Prune
19. Couper un chat (en 2 vidéos)
20. Geisha en kimono (en 2 vidéos)
21. Cerisier en fleur
22. Moines zen à la sieste
23. Cross Terrine du Sumi-e (rédigé en ces termes en anglais par l'auteur ; nous sommes incapables de traduire...)
Lien vers le site de l'artiste (en anglais et japonais) :
Connaître l'histoire de la peinture sumi-e en consultant le site de l'artiste (en anglais) :
Si vous désirez voir des photos de sumi-e, des diaporamas de Kazu Shimura ou correspondre avec l'artiste pour obtenir des informations complémentaires :
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dimanche 4 novembre 2007
141. Charles Bukowski : poésie pour les alcooliques de l'amour et de la paix
Charles Bukowski (1920-1994) était un auteur américain de romans et de poésie.
Charles Bukowski, Le génie de la foule (poème) :
Cette page pourra être complétée ultérieurement avec d'autres vidéos. Revenez-y de temps en temps !
En savoir plus sur Charles Bukowski en consultant Wikipédia :
Page réalisée par Philippe Costa
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samedi 3 novembre 2007
140. Interview de Louis-Ferdinand Céline (1957)
Cette page présente une interview de Louis-Ferdinand Céline réali-
sée en 1957.
Céline à propos de Voyage au bout de la nuit, publié en 1932 :
Céline à propos de D'un château l'autre, publié en 1957 :
A la page 38 (juin 2007), nous avons publié une autre interview de Céline datant de 1961.
Ecouter des interviews audio de Louis-Ferdinand Céline en consultant le site Paris4Philo.org :
En savoir plus sur Louis-Ferdinand Céline en consultant Wikipédia :
Visiter le site Louis-Ferdinand Céline :
En savoir plus sur Voyage au bout de la nuit en consultant Wikipédia :
En savoir plus sur D'un château l'autre en consultant Wikipédia :
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samedi, novembre 03, 2007
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139. Louis-Ferdinand Céline, « Un diamant noir comme l'enfer »
Un siècle d'écrivains, émission de France 3 diffusée en 1998. Louis-Ferdinand Céline, « Un diamant noir comme l'enfer » :
Page 38 (juin 2007), nous avons publié l'interview complète de Céline datant de 1961 et qui fait partie de cette émission.
Ecouter des interviews audio de Louis-Ferdinand Céline en consultant le site Paris4Philo.org :
En savoir plus sur Louis-Ferdinand Céline en consultant Wikipédia :
Visiter le site Louis-Ferdinand Céline :
En savoir plus sur Voyage au bout de la nuit en consultant Wikipédia :
En savoir plus sur Mort à crédit en consultant Wikipédia :
En savoir plus sur D'un château l'autre en consultant Wikipédia :
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Nobuko Matsumiya
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samedi, novembre 03, 2007
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vendredi 2 novembre 2007
137. Rap en kimono
Un clin d'œil avant le week-end au cours duquel nous quitterons le Japon pour rencontrer Céline et Bukowski...
Notre précédente publication sur Louis-Ferdinand Céline à la page 38 (juin 2007).
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136. Le kimono
Cette page est consacrée au kimono (着物). Elle pourra être complé-
tée ultérieurement.
Habillage d'une maiko, quartier de Gion à Kyōto :
La vidéo suivante a été enregistrée à la Hakubi Kimono School à Tōkyō. Elle montre l'habillage d'une jeune femme avec un type de kimono qui était porté par les impératrices et princesses à l'époque de Heian (794-1185). Le vêtement se compose de douze couches :
Kimoni in Mostra, exposition de kimonos d'Etsuko Imabuchi à la Pica Gallery de Naples, 2006 :
Le kimono d'Emily pour le Nouvel An :
Tout savoir sur le kimono, ses accessoires et les vêtements associés en consultant Wikipédia :
En savoir plus sur le kimono en consultant le site Click Japan :
Lire une histoire du kimono sur le site Présence du Japon :
Visiter 着物.fraise.net, une galerie d'images qui décrit les différents types de kimonos :
Visiter les pages du Kyoto National Museum consacrées aux textiles :
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vendredi, novembre 02, 2007
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135. Sumie : leçon n° 11 sur 23 (rose)
Cette leçon fait partie du cours de sumi-e de Kazu Shimura commencé à la page 82 (septembre 2007). L'artiste réside à Tōkyō.
Pour peindre une rose, essayons un nouveau style en plaçant une lumière sous le papier :
Leçon précédente :
10. Camélia
Prochaines leçons :
12. Balaou (poisson)
13. Orchidée
14. Belle-de-jour
15. Nuages
16. Hortensia
17. Mer et crabe
18. Prune
19. Couper un chat (en 2 vidéos)
20. Geisha en kimono (en 2 vidéos)
21. Cerisier en fleur
22. Moines zen à la sieste
23. Cross Terrine du Sumi-e (rédigé en ces termes en anglais par l'auteur ; nous sommes incapables de traduire...)
Lien vers le site de l'artiste (en anglais et japonais) :
Connaître l'histoire de la peinture sumi-e en consultant le site de l'artiste (en anglais) :
Si vous désirez voir des photos de sumi-e, des diaporamas de Kazu Shimura ou correspondre avec l'artiste pour obtenir des informations complémentaires :
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jeudi 1 novembre 2007
134. Théâtre kabuki (n° 2 sur 2)
Le kabuki (歌舞伎) est la forme épique du théâtre japonais tradition-
nel.
Nous ignorons les titres des pièces des trois vidéos de cette page, ainsi que les noms des acteurs et celui du théâtre.
Le genre musical de ces pièces est le nagauta (長唄). Nagauta signifie littéralement « chant long ».
Voir les pages précédentes consacrées au kabuki :
■ Page 24 (juin 2007), Un kabuki joué aussi par des geishas
■ Page 25 (juin 2007), La Jeune Fille-Héron (Sagi Musume) jouée par Bandō Tamasaburō (坂東玉三郎).
■ Page 133 (novembre 2007), Théâtre kabuki (n° 1 sur 2)
Voir aussi les pages concernant la musique du kabuki :
■ Page 73 (juillet 2007), La musique japonaise traditionnelle (n° 1 sur 5), chapitre 4 « La musique de shamisen »
■ Page 75 (août 2007), La musique japonaise traditionnelle (n° 3 sur 5), chapitre 6 « Le genre nagauta »
■ Page 77 (août 2007), La musique japonaise traditionnelle (n° 5 sur 5), chapitre 8 « La musique du kabuki »
En savoir plus sur le kabuki en consultant Wikipédia :
En savoir plus sur le kabuki en consultant le site Le Kabuki dans la langue de Molière :
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Nobuko Matsumiya
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jeudi, novembre 01, 2007
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133. Théâtre kabuki (n° 1 sur 2)
Le kabuki (歌舞伎) est la forme épique du théâtre japonais tradition-
nel.
La pièce que montrent les deux vidéos de cette page semble être Fuji Musume (藤娘 - La jeune fille aux glycines). Nous ignorons le nom de l'acteur et celui du théâtre.
Le genre musical de la pièce est le nagauta (長唄). Nagauta signifie littéralement « chant long ».
Voir les pages précédentes consacrées au kabuki :
■ Page 24 (juin 2007), Un kabuki joué aussi par des geishas
■ Page 25 (juin 2007), La Jeune Fille-Héron (Sagi Musume) jouée par Bandō Tamasaburō (坂東玉三郎).
Voir aussi les pages concernant la musique du kabuki :
■ Page 73 (juillet 2007), La musique japonaise traditionnelle (n° 1 sur 5), chapitre 4 « La musique de shamisen »
■ Page 75 (août 2007), La musique japonaise traditionnelle (n° 3 sur 5), chapitre 6 « Le genre nagauta »
■ Page 77 (août 2007), La musique japonaise traditionnelle (n° 5 sur 5), chapitre 8 « La musique du kabuki »
En savoir plus sur le kabuki en consultant Wikipédia :
En savoir plus sur le kabuki en consultant le site Le Kabuki dans la langue de Molière :
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